33 ANS DE COMBAT POUR UNE RENAISSANCE !
Pourquoi je décide aujourd’hui de vous raconter mon histoire ? Histoire que j’ai gardé secrète pendant plus de 30 ans, réservé uniquement à mon entourage très privé (amis très proches et famille).
– d’une part j’ai compris récemment qu’elle pouvait aider beaucoup d’entre vous. Et que si ma vie a été ce qu’elle a été jusqu’à maintenant c’est dans le but de pouvoir aider un maximum de personne aujourd’hui.
– d’autre part pour vous montrer que si j’en suis arriver ici malgré tous ces obstacles, VOUS pouvez y arriver aussi malgré VOS obstacles. Parce que quelques soit l’obstacle, avec la volonté on peut tout surmonter. Et ce sont justement ces obstacles qui font de vous des personnes plus fortes une fois que vous vous êtes relevé.
Les difficultés mises sur votre route ne sont pas des freins à votre vie, ce sont des leçons. Et ces leçons, font de vous une personne encore plus forte.
Mon rôle est de vous accompagner pour vous montrer comment surmonter vous-même vos obstacles. Pour comprendre pourquoi et comment je peux vous y aider à travers le coaching et / ou le magnétisme, je vous invite à lire ces quelques lignes.
Je vous ouvre donc dès maintenant les portes de mon vécu, qui ont fait la personne que je suis aujourd’hui.
1990 : LA NAISSANCE
Nous sommes le 13 juillet 1990 et je pointe le bout de mon nez. Pour le moment tout va bien mais le repos n’est que de courte durée puisque seulement 5 jours plus tard je commençais à perdre du poids car je n’arrivai pas, ou peu, à m’alimenter.
Déjà de retour à l’hôpital, j’appellerai ensuite cet endroit « ma seconde maison ». On me fit alors tout un tas d’examens, ponction lombaire et compagnie mais aucun diagnostique, tout était en ordre.
Malgré cela, je faisais de nombreux allers-retours à l’hôpital que je n’arrivais toujours pas à digérer le lait que l’on me donnait. On finit alors par me donner du lait végétal pour tenter d’alléger mon alimentation. J’avais alors 1 mois et demi.
Celui-ci me permettait de m’alimenter et de me développer à peu près normalement, malgré toutefois, des occlusions à répétitions. A 8 mois j’eus le droit à des examens du colon afin de tenter d’expliquer ces occlusions incessantes et qui me faisait mal au ventre très souvent. Mais sans résultats. Puis au fil des mois les choses se mirent à se compliquer.
A 18 mois, gros clash !! Les médecins ne comprenaient pas ce qu’il se passait, et tout le monde était très inquiet car je refusais complétement de m’alimenter, je n’allais plus à la selle, et mon ventre était très gonflé.
Le médecin ne sachant quoi faire, il nous orienta vers les urgences. Ce fût le début d’un long calvaire entre l’hôpital de Nantes et de Robert Debré à Paris, les médecins de Nantes se trouvant complétement dépassés par la situation.
Au bout de longs examens douloureux tant sur le plan psychologique que physique, le diagnostic tomba : Pseudo Obstruction Intestinale Chronique = POIC, nom barbare qui ne signifiait pas grand-chose pour nous et qui ne nous fut pas bien expliqué par les médecins. Seule chose vraiment concrète pour moi d’abord, et mes parents ensuite : je n’avais pas du tout le droit de manger ni de boire. Moi qui appréciais beaucoup ça, ce fût très difficile.
Pour compenser on m’avait mis en place une sonde naseau-gastrique. En résumé, une sonde que l’on passe par le nez, puis qui descend jusque dans l’estomac. Celle-ci pouvait servir pour m’alimenter par l’intermédiaire d’une poche de nutrition que j’avais 24/24h au départ, puis sur 18h par la suite. Mais cette sonde pouvait également servir à purger l’estomac en cas de trop plein et de mal de ventre.
Quel calvaire ! je passais mes 2 ans à l’hôpital de Nantes ou j’avais été rapatrié et eu quand même le droit de sortir fin juillet. Mes parents ayant alors appris comment se servir de la machine qui me nourrissait. J’avais des instructions bien précises mais j’allais enfin respirer quand même un peu l’air de dehors et être avec mes parents.
Ce système dura 8 mois. Je ne supportais plus cette sonde qui me passais par le nez, et à chaque fois que l’on devait la changer, c’était une véritable épreuve de force ; il fallait presque m’attacher tellement je me débattais. Alors, on décida de me poser une gastrostomie et on m’enleva la sonde du nez.
Comme ma situation intestinale se régularisait un peu, mes parents essayaient de me donner un peu le gout des aliments (sucettes, tisanes, petit jus de fruits) et petit à petit j’arrivais à garder les aliments sans avoir mal au ventre et en allant correctement à la selle. Les doses de nutrition par – entérale baissaient et au printemps début été, on me sevra totalement de ce système affreux. J’avais alors 3 ans, je commençais à revivre.
Parallèlement à ces problèmes de santé, j’eus à vivre le divorce de mes parents. Ce qui à ce jour est l’un de mes premiers souvenirs.
Je ne passais pas une seule année sans aller à l’hôpital, pour des tas de raisons, y compris 2 ou 3 fois parce que mon estomac s’était enroulé autour de ma gastrostomie, entrainant une obstruction. On dû m’endormir pour m’opérer une fois de plus. Mais, malgré tout, j’arrivais à aller à l’école et à suivre, même si j’avais une petite santé qui m’obligeait à être absent régulièrement. Pour le sport que j’adorais, c’était aussi compliqué car je n’avais pas une grosse endurance, mais je m’accrochais et j’en pratiquais à mon rythme.
Ma vie se passa comme cela jusqu’à mes 7 ans et demi 8 ans, période à laquelle tout commença à se dérégler à nouveau. Mes passages à l’hôpital redevenaient plus fréquents car mon organisme semblait à nouveau ne plus supporter une alimentation pourtant très surveillée.
1999 : UN TOURNANT
Les passages à l’hôpital s’allongeaient et devenaient de plus en plus fréquents. Je ne mangeais presque plus et je perdais du poids. Cette année-là, je fis un arrêt de croissance. Je ne pesais plus que 18/19kg à mes 8 ans et demi révolus. Pas d’autre choix que de faire autrement puisque ni l’entérale ni quoi que ce soit ne donnait d’amélioration.
La décision qui avait été repoussée le plus longtemps possible s’imposait aujourd’hui comme la seule possible pour me redonner vie, et me permettre de reprendre du poids dans un premier temps et me permettre de reprendre une croissance normale.
En avril 1999, on me posa donc un cathéter central afin d’être perfusé chaque nuit. Là encore, je fus interdit de toute nourriture et de toute boisson pour une durée indéterminée. Cela dura 3 mois et demi qui me parurent être des années.
Par la même occasion, on me transféra ainsi que mes parents, vers l’hôpital Necker où je devais avoir des examens complémentaires, et où mes parents devaient être formés pour me « brancher et me débrancher » tous les matins et tous les soirs.
Cette expédition sur Paris dura pendant 2 mois interminables ; j’avais repris du poids et je n’avais plus mal au ventre. Plutôt normal étant donné que je ne devais pas manger et que je ne pouvais boire que très peu pour le moment jusqu’à ce que mon organisme, suffisamment reposé, veuille bien accepter quelque chose.
Ce fut un grand tournant dans ma vie. J’allais grâce à la parentérale pouvoir grandir et grossir « normalement », mais j’allais aussi me retrouver avec un fil à la « patte » en permanence car j’étais branché 7 jours sur 7 sans autre possibilité. Tout du moins pour le moment. Car dans la théorie, lorsque mon organisme aurait retrouvé un peu de souffle et que je pourrais à nouveau manger, je devais pouvoir diminuer la durée de perfusion et même sauter une nuit. Ce qui dans
la réalité n’a jamais pu se réaliser. Et ce qui devait s’améliorer, n’a finalement été qu’une succession d’épisodes tumultueux durant laquelle ma santé, au lieu de s’améliorer, s’est plutôt dégradée.
2001 : NOUVEAU TEMPS D’ARRÊT
Mars 2001, trois années se sont écoulées tant bien que mal, sans que ma santé ne s’améliore vraiment. Les médecins me proposent alors une opération consistant à m’enlever le gros colon. Ce qui engendre à la suite de cette ablation, la mise en place d’une poche de stomie. Autrement dit, un morceau d’intestin placé sur l’abdomen, qui ressort dans une poche. Suite à cette opération, les chances que ma santé s’améliore sont alors de 50%. Dans le cas contraire, j’ai 30 à 40% de chance pour que cela ne change rien à la situation actuelle, et 10% de risque que cela se dégrade. Pas de chance pour moi, je suis dans les 10% pour qui l’opération ne va pas s’avérer positive mais au contraire va empirer. En plus, a cette opération bien douloureuse s’est ajoutée le fait de devoir intégrer physiquement et moralement cette nouvelle particularité physique. Ce n’est jamais que le 3eme appareil qui vient se greffer sur mon corps après la gastrostomie et le cathéter central. Tout ça pour une maladie qui ne veut pas me donner beaucoup de répits. J’ai régulièrement mal au ventre, et je suis en occlusion régulièrement.
De plus, en juin 2000, j’ai fait une grave hémorragie interne au point que j’ai dû être transfusé. Là encore, batterie d’examen qui ne mène nulle part car nul ne sait d’où cela vient et ce qui a pu la déclencher. Ces hémorragies, je vais en faire tous les ans sans que l’on sache d’où elles viennent ni quoi y faire pour les endiguer, bien qu’à chaque fois que j’en fais une on me fasse fibroscopie et coloscopie.
Un énorme kiff pour 0 résultat !
2007 : SURVIVRE : LE DÉBUT DE MA RENAISSANCE
Nous sommes maintenant en avril 2007, après plusieurs mois de douleurs abdominales sans répit et de syndromes occlusifs dont je vous passerai les détails, je suis hospitalisé à l’hôpital Necker pour la énième fois et cela pour n’en sortir qu’en juillet, soit 3 mois et demi plus tard. De nouveau en étant privé de nourriture et de boissons pendant la quasi-totalité de ce séjour.
Durant tout ce temps, comme toujours, j’eus le droit à examens sur examens, périodes d’observation pour comprendre ce qui m’arrivait. Et comme souvent : Aucun résultat ni aucune perspective ne semblaient se dessiner. Et surtout, je souffrais beaucoup. Il fût alors décidé de m’opérer de nouveau.
Pour l’anecdote, je me rappelle encore répondre à la psychologue qui me demande comment je me sent avant cette nouvelle opération : « tout va bien, pour moi c’est comme d’aller faire mes courses tellement j’y suis habitué ».
Les courses se sont avérées être plus dangereuses que prévue.
En effet, cette intervention fut la plus difficile de ma vie. Car outre le fait qu’on ne savait pas si on devait m’opérer sur Necker ou sur Beaujon compte tenu de mon âge (17 ans), j’ai bien failli y laisser ma vie.
Après une intervention de 5 heures, je suis allé comme toute personne endormie en salle de réveil et là rien ne s’est passé comme prévu. Ma tension chutât jusqu’à 6, mon pouls s’accélérait à plus de 160, mon taux d’hémoglobine était au plus bas, et, malgré les transfusions que l’on me faisait, rien n’y faisait. Jusqu’à ce que tout à coup ma poche d’illéostomie se mette à se remplir de sang. Et là, à 21 h le soir, on me ramena d’urgence au bloc opératoire pour me réopérer et voir ce qui se passait.
J’avais fait des hémorragies au niveau de mon estomac et du peu d’intestin qui me restait (car lors de mon opération, les chirurgiens m’avaient tout enlevé sauf environ 50 cm pour mon confort de vie, le reste étant tellement abimé qu’il n’était plus en état de me servir).
Pour autant, ces hémorragies restaient un mystère non élucidé et fortement embêtant. J’eus beaucoup de mal à me remettre de ces interventions qui furent suivies de complications. Je fus entre autres ré-endormi pour pose de drains car mon ventre s’était rempli de liquide qui me faisait souffrir et me donnait de la fièvre. Ma vessie refusa pendant un temps de fonctionner et je dû être sondé pendant cette période … J’eus donc droit à la suite de cette opération à un passage en REA, puis en soin intensif, avant de rentrer à mon domicile début juillet. Juste à temps pour fêter mon anniversaire !
Durant cette période en soin intensif, je me rappelle que malgré la cicatrice abdominale d’une quinzaine de centimètres qui m’empêchait de bouger, j’essayai pourtant chaque soir de me tourner sur le côté car je n’aimai pas dormir sur le dos. De mémoire, je fini par y arriver au bout d’une dizaine de jours environ.
Malgré tout, je m’en suis sorti quand même, et cette opération fut bénéfique car depuis j’ai pu terminer ma croissance, et j’ai moins de douleurs abdominales que par le passé malgré une fragilité toujours présente.
Je fais toujours quelques hémorragies par moments, mais c’est en avril 2009 que j’en fais une plus grosse que d’habitude. Suite à cette dernière j’ai le droit à de nouveaux examens, les médecins ont enfin trouvé d’où cela venait. J’ai une autre maladie tout à fait dissociée de ma POIC. Il s’agit d’une maladie rare du foie, qui se caractérise par une hypertension portale et qui entraine la rupture de veines dans mon système digestif lorsque la tension est trop forte.
J’ai pour cette pathologie un traitement à prendre régulièrement, en plus de ma nutrition par perfusion chaque nuit pendant un minimum de 13h dans l’idéal.
En parallèle de ça, toujours en 2009 soit donc 2 ans après le lourd épisode de 2007, j’ai un flash et me rappelle avoir fait une expérience de mort imminente durant le moment où j’ai faits l’hémorragie interne en salle de réveil.
J’en parle donc à ma maman qui était présente, et lui explique l’avoir vu dans une pièce à un endroit bien précis durant le moment où mon pouls et ma tension se sont emballés. Elle me confirme qu’elle se trouvait bien à l’endroit indiqué. Puis je me revois également au-dessus de mon corps voyant les médecins entrain d’essayer de stopper l’hémorragie en cours et le sang coulé.
Ce n’est qu’à ce moment-là, en 2009, que j’ai réalisé avoir fait une expérience de mort imminente 2 ans plus tôt. Pourquoi aussi longtemps après ? Je ne serai pas capable de l’expliquer, mais cet épisode me permettait de voir qu’autre chose existait, quelque chose que je ne pouvais pas m’expliquer.
Puis je connu à partir de là une période d’accalmie au niveau de ma santé. Non pas que celle-ci était paisible, mais plutôt stable dirons-nous. Avec toujours 7 nuits de perfusions par semaine, quelques aléas, maux de ventre, hospitalisations par ci par là mais pas d’opération en vue ni de gros couac pour le moment.
Et tant mieux car en tant que jeune adulte je commençais a rencontrer du monde, à sortir et faire la fête la nuit. Pas toujours facile d’allier sorties et la perfusion de 12/13h chaque nuit. Par moment je faisais quelques écarts et sautait une nuit par ci par là, ou faisait des perfusions moins longues que les durées recommandées. Puis ce fût le début des relations intimes pour moi. Là aussi ça n’était pas toujours facile à gérer avec une poche de stomie toujours bien présente et handicapante lors de ces rapprochements intimes. Mais je m’en sortais plutôt bien je pense et cela ne m’empêchait pas pour autant d’avoir ce genre de relation. Comme depuis ma plus tendre enfance et comme mes parents me l’avaient enseigné je faisais en sorte d’être le plus normal possible, y compris dans ce genre de situation.
Malgré ces quelques écarts et ma vie d’ado, ma santé restait donc plutôt stable et ma vie sentimentale se portait bien également.
J’eus une première relation sérieuse qui dura 2 ans, puis une seconde qui débutât en janvier 2015 et qui dura 6 ans.
Puis en juin 2018, ça faisait longtemps mais j’eus besoin de me faire opérer. Voilà plusieurs mois que j’avais mal au ventre quasiment chaque jour, mais y étant plutôt habitué je n’avais rien dit. Puis après quelques examens il en résultat que mon intestin, étant largement réduit (60cm au lieu de 7,50M pour rappel), avait créé des adhérences sur les parois de mon abdomen. Je me fit alors opérer pour décoller ces adhérences. Les chirurgiens durent alors rouvrir la cicatrice que l’on m’avait fait en 2007. Les choses se passèrent plutôt bien puis je pu poursuivre ma vie.
2021 : MA RENAISSANCE
Nous voilà maintenant en 2021. Je me sépare de la personne avec qui je viens de passer 6 ans de ma vie. Je ne le savais pas encore mais cet événement allait être un déclencheur majeur de mon évolution.
En effet, notre séparation eu lieu suite à plusieurs intuitions de ma part qui se révélèrent être juste. Rupture difficile à avaler puisque ma compagne venait de me quitter pour partir avec mon voisin (également un ami pour moi), chose qu’elle ne fût jamais en mesure d’admettre sur le coup, mais mon intuition s’est avérée être juste par la suite. Après plusieurs semaines, voir plusieurs mois de « digestion » je finis par me relever. Encore une fois plus fort qu’avant. Je me questionna beaucoup. Sur ces fameuses intuitions notamment, car c’était ces intuitions qui m’avaient menées là où j’en étais maintenant. Puis je pris également conscience que depuis toujours ces intuitions ne me trompaient jamais. Intuition ou observation poussée je ne le savais pas encore. Sur les conseils d’un ami je commença alors à faire des tests afin de savoir si j’étais HPI.
Puis l’univers mis sur ma route plusieurs personnes ayant un pied (ou même 2 parfois) dans la spiritualité. Ce domaine m’attirait de plus en plus. Puis je rencontra en particulier une personne qui m’ouvrit les yeux sur pas mal de choses en lien avec ce domaine. Elle me fit notamment un soin énergétique qui me fit revivre les mêmes sensations que lors de mon expérience de mort imminente de 2007. C’est à partir de ce moment que je me suis mis à lire pas mal de bouquins sur les capacités que nous avions en nous, notamment le magnétisme, les voyages astrales etc.
Puis un jour, cette même personne me tira les cartes pour m’indiquer mon chemin de vie. Apparemment mon rôle dans cette vie est de de soigner les autres, de leur venir en aide. Sur le coup je fût étonné. Puis elle me dit que sans m’en rendre compte je le faisais déjà par la parole, en aidant les personnes de mon entourage qui avaient besoin de conseils. Je me mis alors à penser que c’était peut-être ce que je devais faire. Aider les autres par la parole.
D’autre part je me sentais bien et j’aimais faire ça. Rendre service aux autres et les aider par mes conseils. Les rendre heureux simplement en leur donnant mon avis et en les aidant à trouver des réponses par eux-mêmes aussi.
En y réfléchissant, j’adore faire ça ! Je n’avais jamais pensé en faire mon métier tellement je le faisais naturellement et avec plaisir !
En parallèle de ça, plusieurs personnes me prêtaient des capacités de magnétisme. Puis un jour, j’eus a aider une personne qui avait été voir plusieurs spécialistes, magnétiseurs etc depuis plus de 6 mois mais qui avait toujours cette douleur à la cheville qui l’empêchait de marcher correctement. Je me mis alors a essayer de lui faire un soin de magnétisme à partir des conseils que j’avais entendu des personnes mis sur ma route ces derniers mois et des livres que j’avais lu par ci par là. A ma grande stupeur à la suite de ce soin à distance, plus aucune douleur. Même plusieurs mois après mon soin.
C’est alors que je me suis dit que je devais creuser un peu plus de ce côté-là.
J’entrepris alors une formation pour obtenir une certification en magnétisme, en parallèle je continuais d’aider les gens de mon entourage.
Puis, attiré depuis longtemps par le Reiki sans vraiment savoir ce que c’était, je me suis lancé dans une formation pour devenir Maître Reiki. Pour en arriver à ce niveau il fallait alors valider les 3 niveaux de formation en Reiki.
Cette formation me parla immédiatement. Je me retrouvai beaucoup plus dans le Reiki que dans le simple magnétisme. Le Reiki était une pratique énergétique bien plus poussée, plus cadrée, qui me parlait complétement. Après plusieurs semaines de formation et 21 jours d’auto traitement (procédé indispensable à la validation de chaque niveau et à l’augmentation de mes énergies), je validais alors ce niveau via l’initiation sacrée dispensé par mon maître enseignant Reiki. Lors de cette initiation celui-ci vient « valider » mes compétences et le fait que mon niveau d’énergie a atteint un seuil suffisant afin de valider ce niveau.
Je poursuivis alors mon niveau II puis mon niveau III avec autant de motivation. Ces 2 niveaux furent validés par mon maître Reiki, mon niveau d’apprentissage et d’énergie avaient atteint des niveaux suffisamment élevés pour que je puisse pratiquer le Reiki sur les autres.
Je continuais de parler de mes capacités autour de moi et d’aider les gens dans mon entourage. Sceptique au début, mon entourage n’avait d’autre choix que de se mettre finalement à y croire. Sciatiques, scoliose, migraine, problèmes de peau, je n’en revenais pas moi-même mais j’arrivai, moi, à aider les gens autour de moi à guérir de leurs différents maux. J’avais encore malgré tout du mal à me rendre compte que c’était bien moi qui faisais ça.
Puis, exactement 21 jours après la validation de mon niveau III, staphylocoque à cause de mes perfusions. Puis je ne sais pas pour quelle raison, une intuition, je me suis dit que j’allais tenter de voir combien de temps je pourrai bien tenir sans me perfuser la nuit. Et là miracle, même 6 mois plus tard je n’ai toujours pas eu besoin de me re perfuser. Mon médecin ne l’explique pas car physiologiquement il est impossible d’absorber suffisamment pour vivre avec seulement 60cm d’intestin.
C’est alors ce jour-là que j’ai pris conscience de la puissance du Reiki, que c’était bien moi qui arrivais à faire tout ça, et qu’avec le Reiki il était possible de soigner, ou tout du moins d’aider le corps humain à guérir à peu près tout, ou en tout cas beaucoup de choses.
Ce texte retranscrit précisément une grosse partie de ma vie et est exclusivement réservé à ce site et non autorisé au partage.
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